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J’etais dans la boue depuis plusieurs heures maintenant. Trop fatigue et apeure, je n’osais nullement bouger. Mon pere n’etait pas revenu me voir, et mon frere quant a lui m’avait simplement lance une minuscule chaussette rose, qu’il m’avait dit de mettre par-dessus la cage de chastete pour cacher ce qu’il appelait un clito, mon minuscule penis. Depuis, j’etais reste seul. Le soleil commencait a se coucher, je commencai alors a me relever Afin de tenter de convaincre mon pere de me laisser rentrer. Mais je n’eus pas le temps de me lever, mon frere etait passe par-derriere. J’eus juste moyen de reconnaitre ses enormes bottes de cuir noires, et il me mit un sac en toile de jute sur la tete. J’entendis la porte d’une maison s’ouvrir, mon pere l’avait vraisemblablement rejoint. Je fus baillonne, ligote, souleve puis assomme.

Je repris doucement les esprits. Je ne savais pas ou j’etais, mais j’entendais un bruit qui me semblait familier, un bruit de moteur. Je ne pouvais gui?re bouger faire mes membres, j’etais completement ligote, et je ne voyais rien. J’avais peur, mais je ne voulais nullement decevoir mon pere. Sous moi, il y avait un renfoncement, avec quelque chose dedans. Une roue de secours. Aussi tout me semblait net : J’etais au coffre en voiture du pere. Nous etions dimanche, le jour ou lui et mon frere jouent souvent avec leurs amis au rugby, sport auquel je n’avais jamais participe sous pretexte que je n’aimais jamais ca, alors que je ne voulais simplement pas venir deranger des males dans l’expression en virilite qu’est votre sport. Ils avaient peut-etre cru que je m’enfuirais s’ils me laissaient seul, ainsi, avaient donc prefere m’emmener. Pourtant, ils auraient pu simplement m’attacher a une chaine tel le chien. Ils devaient meilleurs sites de rencontres spirituelles avoir une autre idee en tronche.

Notre voiture s’arreta, le coffre s’ouvrit et je fus traine partout avec le collier, j’essayais d’avancer a quatre pattes, mais la main qui me trainait, allait trop vite me concernant. Le sol, couvert d’herbe si?che, ne me faisait nullement tres mal, mais certaines herbes plus hautes que d’autres me fouettaient et commencaient a devenir douloureuses. J’entendis une a s’ouvrir, et alors les doutes se confirmerent. L’odeur de sueur typique des vestiaires hommes me monta au nez, me confirmant que nous etions bel et bien au stade de rugby. Le sol est desormais un carrelage froid, et me faire trainer dessus etait beaucoup plus douloureux. J’entendis un bruit de chaine, je compris que mon tour qui me trainait, m’avait attache. Puis, j’entendis la voix du pere appeler ses amis.

He, les gars ! Venez voir

Les aucun l’equipe de rugby se firent entendre, puis j’entendis des sifflements, je compris qu’il m’etait destine. Une voix grave et virile se fit entendre.

— Mohammed, c’est une jolie piece que t’as ramenee… On va lui faire sa fete a ce pede !

— Et encore, t’as nullement tout surpris.

Notre sac dans ma tronche pantalon retire. Je reconnaissais alors toutes les individus presentes, amis de mon pere ou de mon frere qui me connaissaient tous depuis longtemps.

— Putain ! Mais c’est ton gamin !

L’homme a J’ai voix virile s’appelait Karim. Cela avait 33 annees, est marocain, grand et muscle, et etait considere avec l’ensemble de comme le chef de la bande. Je l’avais forcement admire, tandis que lui ne s’etait jamais preoccupe de moi.

— Mohammed, tu sais bien que les pedes que tu nous ramenes ressortent jamais d’ici en bon etat. C’est ton gamin, quand meme.

— Mon gamin ? Mon fils s’appelle Kevin, ainsi, c’est un male. Ce pede-la, je le renie. Faites-vous bonheur, defoncez-le. Je vous ai jamais attendu, son cul reste deja en sang.

Ce que Karim dit me surprit. Je n’etais pas le premier pede que ces males allaient detruire, mon pere en ramenait, semblait-il, regulierement. A la reponse de mon pere, Karim sourit et commenca a se caresser l’entrejambe. La totalite des autres firent de meme, Quelques meme n’avaient gui?re hesite a bouger un bite. En comptant mon pere et mon frere, ce qui faisait 12 males qui ne voulaient qu’une chose : me violer et me faire en gali?re. Il etait inutile de resister, et je n’en avais nullement besoin. J’esperais leur obeir comme votre esclave. Un homme de la vingtaine d’annees s’approcha de moi, enleva mon baillon et me montra ses chaussures. Il evoque, en me regardant droit au sein des yeux :

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