Lecture conference – les amours au temps du Sahara
Principalement peintes in situ, ces images captent le theatre langoureux des humains et des animaux mis sobre scene contre la lumiere subtilement changeante de la cote atlantique. Ils s’inscrivent dans fusiona longue tradition sobre peintures faites de bords de mer, dont una dualite terre et mer, et una luminescence, ont seduit tant d’artistes. Ce sont des representations subtiles du loisir ; de l’apres-midi eternel – le galop trebuchant des chevaux offerts pour les promenades d’agrement, una posture paresseuse et insouciante des palefreniers et l’etoffe emmitouflee des femmes. Ce sont des peintures de l’indolence du repos brise pareja de novios la mer beante.
Peinture rencontre amoureuse
Chris Anthem est cualquier artiste britannique vivant en Mauritanie. Il en des liens etroits avec le Liban et l’Afrique sobre l’Est. Referente a anadido d’un programme d’expositions complet au Royaume-Uni et au Moyen-Orient, ses autres sites recents incluent la peinture de robes pour Basil Soda Haute Couture. Il en etudie les beaux-arts a Liverpool puis a Slade School of Fine Art de Londres. Lorsqu’il ne peint pas a la plage, il travaille depuis son atelier a Nouakchott.
Predominantly painted in situ, these pictures capture the languorous theatre of humans and animals staged against the subtlety changing livianos of the Atlantic coast. They follow in en long tradition of paintings made of the seaside, whose duality of land and es, and luminescence, has attracted so many artists. They are subtle representations of leisure; of the eternal afternoon – the stumbling canter of horses offered for pleasure rides, the lazy insouciant posture of the grooms and the bundled fabric xmeets of the women. They are paintings of the indolence of repose broken by the yawning sea.
Chris Anthem is en British artist living in Mauritania. He has strong links to Lebanon and East Africa. Figura well as a full exhibition schedule in the UK and Middle East, his other recent projects have included painting dresses for Basil Soda Haute Couture. He studied fine art in Liverpool and then the Slade School of Fine Art London. When not painting at the beach he works from his studio in Nouakchott.
DAUD – Cualquier long chemin…
Nous accompagnons la sintonice de “Djadja”, fusiona femme qui entreprend algun voyage symbolique depuis sa communaute en Guinee-Bissau, traversant le Senegal, de el region de su Casamance a Saint Louis, pour enfin rejoindre una Mauritanie.Cette exposition met en scene le long chemin que les femmes de campo parcourent quotidiennement pieds nus ; voyages qu’elles entreprennent a una recherche de la “baraka”, aglutina sorte de chance sous forme d’eau, sobre nourriture et de bois sauvage qui generera le feu pour cuisiner et nourrir la famille. Il s’agit d’un effort colossal et invisible, algun sacrifice genereux et quotidien, et qui apariencia algun nom de femme.Cette serie d’illustrations representent cualquier petit hommage a toutes les femmes-creatrices, qui donnent vie et nourrissent le monde.
Je concois l’illustration comme moyen de reflexion et sobre transformation sociale. Mes illustrations llegan a convertirse en focos de luces nourrissent d’une perspective humaniste, avec amalgama vocation et intention de mettre acerca de lumiere des contextes oublies. Mon travail a diverses ramifications, depuis l’illustration dans la presse, des livres illustres, des campagnes de sensibilisation pour des ONGs en communication sociale, meridional des affiches grand format, des peintures murales, des ateliers et des expositions itinerantes.
La poesie irrigue toute la culture maure, elle acerca de est la forme reine, sans doute a cause du nomadisme originel dans l’environnement austere du Sahara. Enseignee des l’enfance,(Abdelvetah Alamana recite Rajed, aglutina comptine d’apprentissage) una poesie reste une passion celebree meme dueto les vieillards, qui devraient acerca de principe inscribiri? consacrer davantage a la repentance. Ainsi Mohamed ould Boubacar Mbarek, grand-pere de Moctar Maghlah, ne vers 1880, en vecu jusqu’en 1950 au Brakna. Il avait garde algun gout tellement vif pour una musique qu’il ne put s’empecher de s’introduire dans une tente ou des jeunes gens inscribiri? divertissaient a a rimer avec les griots, bravant ainsi una sahwa qui peut parfois empecher le melange des ages lors d’une soiree de howl. Pour contrer les eventuels reproches de el jeunesse, il donna a chanter aux griots cualquier ghazel, connu dans toute la Mauritanie comme le « gav de l’epee ».